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BIM CREW

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  • Le BIM CREW présente ses projets artistiques divers, d'automne, de printemps et d'été. BD, dessin, peinture, musique, video, porno si tu cherche bien et d'autres choses que nous ignorons encore nous même. Viens partager et communiquer, rejoins le CREW!
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Un projet en tête?
Si vous avez besoin de musiques ou d'illustrations, si vous avez besoins de mains pour réaliser un projet artistique, n'hésitez pas à nous contacter : lebimcrew@gmail.com
1 mai 2014

Idéalisme. L'art, la vie, l'univers et tous le reste.

Je voudrais retranscrire mes pensées du moment,

Posées sur le papier mes réflexions du présent,

A la fois mûr et encore fébrile je le sent

elles resteront, je l’espère, dans un changement constant.

Toujours remettre en question, garder l'esprit en mouvement.

 

Quand l'objectif est atteint, on est mort,

Je veux que le présent toujours s'améliore

Et me réjouir de ce qui est

Extérieur à mon fait.

 

Dans notre époque de chaos, l'Idée

La pensée individuel ce trouve en opposition avec la Réalité.

Les itinéraires de vie sont tracés, globalisés.

 

Chacun suis une loi dictée par une force supérieure.

Les ignorants on foi en un monde ailleurs.

Et ce laisse mener par son hypothétique lueur.

 

L'action ce fait dans la crainte du châtiment

Ou sans même pensé à l'autre comme en Occident.

Ils sont tirés par leur égoïsme grandissant

Sans pensés qu'ils sont dans quelque chose de plus grand.

 

L'homme, le centre du monde,

Dirigé par des Idées devenues immondes.

Il ce laisse guidé par les impératifs sociaux

Et laisse ses instinct bestiaux le rendre sot !

 

Il oublie les conséquences qu'engendre une décision.

 

Tout n'est qu'amis ou ennemis

Tout le monde essaye de prouver que la sagesse est en lui :

Engendrant bannières et séparations...

Groupes, hymnes, sentiments communautaires si cher a l'humain

Tant il est effrayé si les autres ne consentent son action ;

Perdu, si il se pense seul sur le chemin.

 

Je suis dans la dynamique inverse

De ces roues perverses.

Je t'invite ! Je t'invite !

A te pensé toi-même, a rêvé tes ailes !

A développée tes idées personnelles !

 

Désapprendre ce qui est appris,

pour partir sur de nouveaux acquis.

Unique, juste son avis !

Sans oublier autrui.

 

J'essaye de pensé mon action

Pris dans un extérieur où j'exerce des pressions

Aussi je n'agis pas à l'envie

Je fais partie des rouages de la vie.

 

A mon échelle, je touche un microcosme,

Mais je fais partie de ce macrocosme.

 

Ma liberté s’arrête au pied de l'autre,

Il me faut respecter cet esprit qui est le votre.

 

Je suis un fragment de nature,

D'univers,

Comme Tout.

 

D'un coté nous sommes déterminés

De l'autre capable de liberté.

 

J'observe ce don je suis constituer :

D'esprit, de Cœur et De Corps assemblés.

Mes armes sont la raison, l’émotion et l'action.

Je cherche à en retiré ma Déraison !

Ma folie propre, unicité de mon être,

Face au robot sortie des boites à paraître.

 

Au départ l'Esprit est normé

Par la Famille, La scolarité.

Notre savoir est sélectionné

Notre éthique déjà décidé.

 

Le Cœur est soumis aux émotions enfantines ;

Sans contrôle, plus tard elles déclenchent le spleen.

Ce passé laisse des traces,

Marque certaines places.

Né un vide que l'enfant ne ressent ;

Absent, inconscient du temps.

 

Et le corps peut rester inactif

Une vie à rester passif !

Sans ce pensée

Ni saisir l'opportunité de ce créer.

 

Mais nous pouvons utilisé notre liberté !

Agir et Déraisonner !

L’Esprit sans norme

S'atteint par le savoir des hommes.

 

La connaissance est le maître mot,

Ce qui peut nous sauvez des maux...

L'accumulation, la réflexion sur soi

Vient en lumière face à l'ignorance et la foi.

 

Observe l'extérieur, le monde et comment il marche !

Pour accomplir un chemin, non sans embûche, il faut que tu le sache.

Je cherche à comprendre la nature des choses en étant à l’écoute,

En prenant le temps d’écouter chaque goutte.

Il faut comprendre le cycle immuable

Pour s'inscrire en temps qu'élément capable.

 

J'essaye aussi d'entendre parlé mon Corps

Il fait le liens avec mes émotions,

imprime mes membres de sensations.

Je calme ses distorsions avec la méditation.

Je tente de sentir chaque pores.

 

Une énergie habite ma carcasse.

En la contrôlant, je pourrait soigner mes impasses,

comprendre mes forces et mes failles,

Comprendre mes capacités, mon caractère

Et prendre acte de tous mes critères.

Ma Déraison me montre les mailles.

 

Aussi, les émotions mettent en mouvement.

La connaissance engendre le bien-être

Et apparaît la joie d'être,

le constat de ce qui est présent.

L’émotion bénéfique ce vie !

Il faut ressentir le bonheur du moment.

 

Mais l'action né aussi du vide qui aspire !

Le négatif n'est pas forcement le pire !

L’Esprit qui voyage dans des sphères spectrales

Voit comme je suis misérable.

Il peut saisir mes imperfections

Et m'emmène vers une introspection.

 

Mon Corps est limité dans le temps et l'espace

Il semble faible face au menace

Mais agir le rend plus fort ;

Cette angoisse de la mort

Ce tue par l'effort

 

Mon cœur fait des siennes,

Mais il entraîne

Production, Création

Et ce peut importe les saisons

 

Le sentiment peut ce gérer

Ou ce sublimer.

Tant que le vide engendre création

Il faut accepter ses émotions.

 

Réel loin des étoiles...

J'en noircis des toiles...

Mais je suis si petit

que je ris

de mes rêves de grandeur

Où j'aurais de l'ampleur.

Je ne peut agir que sur moi

A la force de mes dix doigts

Je peut par la volonté

Me rapprocher de mes Idées

 

L'acte manuel est un temps

qui ramène le corps dans le présent,

Car l'Esprit, par le Futur est tiraillé

Tandis que le Cœur est attaché au passé.

 

L’écriture pose les idées

tandis que le pinceau permet, de les amener a la réalité

Avec la sensation que l'on peut palpée cette luminosité :

Pour mieux s'approprier ce que l'on est.

 

L'agriculteur qui fait poussé

Ainsi que le fabricant de joué

eux aussi produise de leur mains ;

Esprit et Corps reste en lien

 

Car aujourd'hui, l'homme n'est plus qu’opérateur

sur des machines, face à des super-calculateur

Est l'acte n'est plus en rapport

avec l'objet qui en sort.

comment l'homme peut il comprendre son corps

Alors que maintenant un bouton suffit ?

Et cela lui fait du tord

de ne plus touché ce qu'il construit.

 

Je souhaite rester opérant

de l'objet que je fabrique,

non pas subordonnée à un écran

qui évite que je m'implique.

Être acteur de la force qui m’est donné ;

l'esprit prend corps par le fait.

 

L'art ce trouve être l'alliance hors norme

De l'esprit, du cœur et du corps prenant forment.

Et le plaisir présent de ce qu'on a produit

Montre que le négatif n'est pas sans utilité

Il permet par la création d'avancer,

De ramener l'esprit et le cœur, vagabonds et rêveur, Ici.

 

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1 mai 2014

Voyage ( apologie)

La route commence sans but.

Battit sur quelques fondations incontrôlées ;

Au départ on ne fais qu'observer

Et avancer doucement vers le monde abrupt.

 

Puis une fois la longue traversée débuté

Arrivent les concepts, les préceptes :

Arrivent des complexe créées par ceux qui nous dépassent de quatre têtes ;

Qui croient savoir la vérité...

 

Les multiples sentiers,

Les multiples (destinées),

Se ferment peu à peu,

Parce qu'on croit ceux qui touchent les cieux.

On court! On suit sans penser,

Les gens qui nous apprennent à marcher.

 

Cependant le chemin est peuplé

De croisement, de peuple, d'inconnu,

De gens différent, tout aussi apeurés

Face à l'Inconnu,

Avec pour seuls armes ce qu'ils ont connus.

 

Il y a des rencontres, on ne peut aller contre

A tout heure qu'indique la montre.

Il y aura toujours quelqu'un à qui parler,

Avec qui partager, échanger sur l'itinéraire à emprunter.

 

Seulement certains peuvent vous aider;

Seulement, beaucoup ne font que vous enfoncer.

Certains savent qu'ils n'ont pas la vérité et cherchent;

Beaucoup pensent qu'ils ont trouvés la voie, alors qu'ils n'ont fait que s'accrocher aux perches.

 

Toute information est bonne à recueillir

Pour ce faire un meilleur jugement de l'avenir.

Il est bon de s'ouvrir

A tout ce que les personnes ont à offrir.

 

Mais tout du long, en marchant,

On ce rend compte que les offrants

Quoi qu'ils fassent, finissent par vous blesser,

Vous insupporter, malgré la chaleur dégager.

 

Il est un temps d'isolement

Pour réunir ses esprits

Et reconstruire son cœur meurtri...

Parfois sombrer dans le tourment.

 

Des êtres perdus, des choix malvenus,

Des situations vécus qui n'auraient pas dus...

C'est la peur au ventre que l'on continue

Mais on commence à perdre la cadence convenu.

 

Aussi faut-il ce battre pour ses convictions;

Faire régner la concentration

Des émotions et l'exaltation

Du cœur, quand il n'est pas sous protection.

 

Quand ma maudite carapace ce brise,

Je reçois des blessures sans noms.

La folie sonne à mes oreilles comme une douce brise

Qui m’entraîne dans les abîmes sans fond.

 

N'est il pas mieux de rester seul ?

Puisque c'est ce qui nous attends tous dans le linceul?

 

Seul l'Amour... lointain et déchu... perdu...

Seul mon cœur qui bat et espère de rencontre la belle inconnu,

Me permet d'affronté le monde

Et de continuer le voyage.

 

Je me tiens éloigné des routes pleines de mondes

Et vois avec angoisse défilé les ages.

 

1 mai 2014

Le géant

ll dort à l'ombre de sa grotte.

Dans son repos, sa léthargie,

Il dit qu'il agit,

Ce tenant loin de ce monde et ses idées sottes !

 

Jadis, les plaines étaient parcourus de ses pas,

On voyait souvent le géant gambader près des champs,

Rire au éclat, raconter ses histoires aux enfants...

Et aux badauds qui passaient par là.

 

Seulement, tous ne voyaient pas d'un bon œil

Sa grande taille, et ses vêtements déchirés.

Seulement, tous n'entendaient pas d'une bonne oreille

Ses contes farfelus, ses poésies rêveuses.

 

Le croc-mort appréhendait déjà le cercueil à réaliser.

La tisserande geignait qu'il lui faudrait tricoter jusque sa mort pour un pareil cache-nez.

L'apiculteur racontait que ses abeilles étaient travailleuses,

A l'inverse du géant juste bon à cracher ses inepties affreuses.

 

Aussi le grand-Homme,

Le Monstre, fut chassé.

Blessé au plus profond des atomes

Il partie loin, pour se retirer.

 

En sa seul compagnie, parfois, il conte encore

Ses récits et ses vers

Maintenant devenu noirs et amers.

Aucun espoir, même fou, n'en sort...

 

1 mai 2014

Esprit, Coeur, Corps

Il y a ceux du Corps

Qui ont l'instinct à fleur de pores.

Suivants et suivantes de la voie primal,

Presque un retour à l'état animal.

 

Il y a ceux de l'Esprit

Qui ont besoin de comprendre à tout prix,

Et ce qu'ils font et ce que l'autre fait.

Ici, bien souvent, tout est surfait.

 

Il y a ceux du Cœur

Qui affrontent sans peur

Leurs émotions parfois trop intenses et flous,

Si bien qu'on les prend souvent pour des fous.

 

Si les trois civilisations peuvent vivre isolées,

Une fois réunis, viennent bientôt les échauffourées.

Les batailles sont courtes et intense.

La guerre est longue comme un sentence.

 

Le Corps se fait bien vite maté

Par l'Esprit cultivé et construit

Maintenant il est tapis comme une bête blessé

Et attend de reprendre ses esprits.

 

Mais il n'a jamais dits son dernier mot.

Il sera toujours comme un fauve chassant,

Prêt à bondir au moindre sursaut

De son cœur robuste et battant.

 

Reste le Cœur et l'Esprit qui préfère la discutions.

Ils peuvent dialoguer des heures sans interruptions

Et souvent le Cœur finit battu ;

Ses actes sont insensés, il en devient convaincu.

 

Vaincu et réduit au silence par l'Esprit réfléchit :

Celui-ci cache souvent ses soumis.

Il préfère s'aveugler...

Truquer la réalité

Plutôt que de l'affronté.

 

Tous ses efforts le traîne vers le soupir,

Lui afflige les traits des anges déchus.

Il perd tout visage, il ne ce reconnais plus ;

Déchiré par l'envi de ce fondre dans la masse et tout contenir.

 

Si bien qu'il s'éloigne de la vérité

Que referme bien cacher le Cœur.

Incapable de s'exprimer,

Il s'endort pour rêver

De ses aspirations, de son bonheur :

Il espère un jour meilleur.

 

1 mai 2014

Les vertes vallées

Le calme des verts vallées n'est pas si loin.

Il suffit que nous tendions la mains.

Mais le pauvre monde semble aveuglé

Par le sang versé dans le passé.

 

Nous écrasons l'herbe de la plénitude

Sans perdre nos mauvaises habitude :

Voici venir le prélude

De la fin de notre hébétude.

 

Soi disant maître de l'univers,

En fait, simple poussière ;

Perdu l'humilité de l'ancien temps !

Retrouverons nous, jamais, le respect d’antan ?

 

Égarer sur un chemin

Dans un tunnel qui n'a plus de fin...

 

Creuse toi même la sortie !

Belle est la vie !

 

La plupart n'y pense jamais

Comme si ce cadeaux ne suffisait...

 

Je ne demande pas de rester sur son fondement

Juste en ce disant qu'on est vivant.

Car, exister c'est osé avancer

Hors des routes toutes tracés.

 

Allez chercher votre bonheur !

Pour le prendre nul besoin de grandeur.

Cependant le trouver n'est pas l'acquérir,

C'est un combat de tous les jours pour le conquérir.

Ceux qui ont attrapé leur soleil

L'oublie souvent et ne le surveille.

 

Tout le monde à droit à son nuage.

Il suffit de savoir le créer, s'y accrocher

Et lancer des éclairs sur les mauvais présages ;

Ne pas ce reposée sur ses lauriers.

 

Cherchez le chemin de la vérité !

Rassurez vous, vous n'êtes pas seul à marcher ;

Il y quelqu'un à vos coté.

 

Ce n'est pas le tout-puissant dieu,

Mais vos pensées, vous et vos aimés :

Bien plus utiles et précieux

Qu'un astre perché dans les cieux.

 

Ce n'est pas sans raison

Si le Père reste dans l'inaction

Et nous laissez dans notre damnation.

 

Nous ne voyons pas que le bonheur est à nos pied ;

Nous achetons du vide alors qu'il suffit de profité

et de comprendre que tout est à notre porté.

 

Il n'y a que nous qui puissions nous sauver...

 

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1 mai 2014

L' arbre

Ce n'était qu'un rêve.

Bouche pâteuse et esprit embrumé

Me poussent à partir en forêt, pour aller écouté

Les murmures des arbres et m'abreuver de leur sève.

 

Le vent souffle dans les branches.

Il raconte ses histoires farfelues et feuillues,

Et moi les bras ouverts je me penche

Pour écouter ses vérités misent à nues.

 

Soudain, il m'appelle, un arbre tordue.

Il me dis d'où vienne ses maux et ses douleurs,

En rapport avec ses confrères tout droit tendus :

Son combat est incessant pour atteindre la lueur.

 

Cependant tout effort n'est pas vain:

« Regarde le beau visage sculpté sur mon tronc,

Il symbolise mon bien-être, ma passion,

Je me suis permis d'être! »

C'est en contemplant ce (h)être

Que je m'endors et part au loin.

1 mai 2014

Le visage

Il est là, dans l'obscurité;

Tout proche de moi, je sens sa présence,

Et c'est dans une aura bleutée

Que se mettent en éveil mes sens.

 

Il y a d'abord un son, une pulsation.

Respiration, lente et apaisante, chante

À mes oreilles une symphonie dansante

Qui déclenche en moi une émotion.

 

En rythme, mes yeux donnent le La.

Musique au couleur du spleen,

De la chair, de la vie, des humeur câlines !

Les tons et les nuances se composent en clé de Fa.

 

Dans la lueur indistinct de la pénombre

Ma main se pose et touche :

les yeux, le nez, la bouche !

Tout ! Et le cœur et les ombres...

 

Puis ça vibre et mes doigts glissent

Sur les prospérités et aspérités.

Le visage s'approche. Il est à proximité de mon nez

Ivre d'odeurs épicées et pleines de malices.

 

Alors je ne peux m'empêcher d'y goûter,

D' effleurer, sentir et fusionner

Avec l'adversité...

Les lèvres ce frôlent et s'affolent ;

Lentement s'approche des épaules.

 

Le « je » n'ai plus

Il en est de même pour le « tu »

Seul « nous » résonne à ce moment!

Dans le privilège de l'instant.

 

La rivière de la vie s'écoule

Au rythme des soubresauts et des secousses.

 

Âme et cœur sont élevés,

Esprit et corps sont fatigués.

 

Repartie pour un sommeil réparateur,

Je sais que je me réveillerai encore une fois en rêveur.

 

Kptain Infini

 

1 mai 2014

Vie

Du temps où mes pieds et mes mains

M'aider à découvrir monts et merveilles ;

Le Repos, le Sommeil,

Ressemblait à ce que je pensais chaque matin.

 

Cette clarté met maintenant mes agonies en valeurs,

Éclair mes souliers et laisse mes yeux dans l'obscurité.

Sont but est-il de me montrer ou me cacher les sentiers ?

Alors même le jour levé, je reste dormeur, rêveur.

 

Dessins imagés, notes posées sur du papier,

Détache mes fers soudés au plancher.

Mais, au moment ou je commence à m'enfuir,

Est-ce le glas qui vient m'aplatir ?

 

Kptain Infini

 

17 avril 2014

Nous sommes enfin sur le Face de book

Nous avons rejoint nous aussi le site face de book, ainsi vous pourrez voir plus facilement nos travaux et pourvoir nous "Like" pour notre plus grand plaisir et pour notre plus grand motivation a continuer de travailler. 

https://www.facebook.com/pages/Bim-CreW/260139324159167

Votre humble serviteur, Universel-man

15 avril 2014

Couverture pour mon CV

couverture cv blog

 

Kptain Infini

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